La Boîte à Merveilles
Résumé chapitre par chapitre

Chapitre I


L'œuvre s’ouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte décrit son présent où un sentiment de solitude, très ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. Sans plus de détails, il décrit ce qu’il voit (des souvenirs): un enfant de six ans (lui-même) qui joue et essaie d’attraper un moineau qui ne vient jamais. Sa solitude alors l’accompagne depuis son enfance! Du pronom «je» le narrateur passe à employer le pronom collectif «nous» pour parler aussi de ses parents, il présente d’abord la Chouafa en évoquant ses fêtes, elle occupait le rez-de-chaussée, puis les autres voisins: Driss El Aouad, sa femme Rahma, leur fille Zineb, et Fatma Bziouya. Il explique ensuite pourquoi il n’avait pas d’amis. Il parle aussi de son attente de grandir pour faire ce qu’il voudrait. Le narrateur évoque également le Msid, le fqih, avant de parler du bain maure, qu’il n’aime toujours pas. Vient alors une description des objets de la Boîte à Merveilles et la relation que l’enfant entretenait avec eux, ils lui portent secours dans les heures de chagrin. La mère du narrateur, comme il la décrit, avait des talents dans l’art de raconter et imiter les personnages de ses récits. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mère et Rahma, la voisine, un bien long récit qui se clôt sur l’évanouissement du narrateur. [p-p: 3-19]

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Chapitre II


C’est le mardi, jour redouté des élèves du msid. La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid. A la maison, l’enfant trouve que sa mère souffre d’une terrible migraine (elle a mal à la tête). Une ancienne voisine, Lalla Aïcha, vient lui rendre visite, elle lui indique un fqih pour se débarrasser de ses maux physiques et moraux. Face à la pâleur de l’enfant (que la mère explique par le mauvais œil, alors qu’en réalité c’était à cause de la peur de la baguette du cognassier s’il ne récite pas bien l’après-midi) et la maladie de la mère, Lalla Aïcha trouve un autre conseil: aller à Sidi Ali Boughaleb, le mausolée. La mère du narrateur hésite un peu, puis finit par accepter sous l’insistance de la visiteuse. La femme souffrante s’apprête à sortir, le narrateur nous présente une description de ce qu’il garde encore sur l’ancienne voisine. Une longue description de chemin vers le mausolée, des lieux à côté, puis de l’intérieur de ce lieu sacré, la scène des femmes qui demandent de l’aide à ce saint, avant de raconter leur dialogue avec la Moqadma et sa série d’invocation. Cette scène se termine par un drame: l’enfant reçoit un magistral coup de griffe d’un chat qu’il voulait caresser (il y a beaucoup de chats dans ce mausolée), il pleure alors jusqu’à son arrivée à la maison. Le lendemain, l’enfant ne va pas au msid. Il décrit le début d’une journée ordinaire dans la maison de la voyante, où la vie commence à flâner rapidement le matin, de chambre en chambre. Le narrateur nous raconte comment son père est devenu tisserand après avoir quitté son village situé à une cinquantaine de kilomètres. Cet homme sort très tôt et ne revient qu’après la dernière prière, il mange à l’atelier. Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, l’ouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le déjeuner de son patron (le père du narrateur). Le petit aide sa mère à écosser des fèves, besogne qu’il n’a pas trop aimée, il va donc chez Fatma Bziouya qui roulait du couscous, elle lui tend un radis, mais n’en ayant pas aimé le goût, l’enfant monte sur la terrasse et le jette par-dessus le mur. En redescendant, il rencontre Rahma (à laquelle sa mère n’a adressé aucun mot depuis leur querelle à cause du linge) qui lui offre un cabochon, un nouveau bijou qu’il ajouterait aux objets de sa Boîte à Merveilles. [p-p: 20-39]

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Chapitre III


Après les deux jours et demi de repos, Sidi Mohammed revient au msid vendredi après la prière de midi. Le fqih ne peut résister au sommeil, il se réveille de temps à autre et distribue au hasard des coups de baguette. Les enfants sont libérés le soir après les rituels de coutume. A la maison, le narrateur joue avec ses objets de la Boîte à Merveilles, surtout le cabochon que lui avait offert Rahma. Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida découvre la lampe à pétrole, elle est éblouie de son pouvoir! Après le dîner, elle déclare alors de manière indirecte, devant le père du narrateur, qu’elle aussi désire une lampe à pétrole. Le lendemain, au retour du msid, l’enfant en trouve une accrochée au mur, sa joie est partagée avec tante Kanza, la chouafa, qui monte pour admirer la nouvelle acquisition. Le même jour, Rahma a perdu sa fille Zineb au milieu de la foule en route vers un baptême. Zoubida raconte les détails de ce drame au père, après le dîner, et comment, accompagnée de Fatma Bziouya, elle a pu la trouver à la maison des Idrissides (Dar Kitoun). Jeudi suivant, pour remercier Dieu, Rahma organise un repas pour les pauvres. Le narrateur décrit les préparations des femmes de la maison pour la fête, et comment cette dernière s’est déroulée. Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir l’enchantement désiré, il se met à pleurer. [p-p: 40-55]

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Chapitre IV


Sidi Mohammed et sa mère, dans les premiers jours du printemps, rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans l’impasse de Zankat Hajjama. Le narrateur décrit la maison de l’ancienne voisine. Il évoque les sujets de la discussion des deux femmes, c’est une occasion pour décrire les parents de Sidi Mohammed. Le héros raconte ensuite le récit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de présenter la description des voisines de Lalla Zoubida. Le mari de Lalla Aïcha arrive, sa femme le rejoint dans la chambre. Le narrateur insère ensuite un récit raconté par une voisine de Lalla Aïcha (une mise en abyme) et qui était inachevé. L’amie de la mère, revenue de sa chambre, raconte à voix basse, en pleurant, les ennuis de son mari. Lalla Zoubida la console comme une grande sœur. Le soir, Si Abdeslam vient chercher sa femme et son fils, et les trois membres de la famille reviennent chez eux. Après le dîner, la mère raconte au père le drame de Moulay Larbi avec son associé Abdelkader, qui a nié tout ce que son patron avait fait pour lui venir en aide. Le narrateur relate ensuite un discours du père sur Abdallah l’épicier. [p-p: 56-77]

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Chapitre V


Ce mercredi, la baguette n’est plus qu’un objet pour occuper les doigts du fqih! il annonce aux élèves comment ils devraient se préparer pour Achoura. Revenu à la maison, l’enfant a peur car il est seul, sa mère était sortie avec Lalla Aïcha avant son arrivée. Rentrée chez elle, Lalla Zoubida raconte à Fatma Bziouya, puis à Rahma (la perte de Zineb était une occasion pour la réconciliation des deux femmes) les soucis de Lalla Aïcha: elle a vendu ses bijoux et les meubles de son ménage pour aider son mari à ne pas perdre son atelier et garder son travail de babouchier. Soudain, des cris déchirent le silence, c’est à cause de la mort du coiffeur Sidi Mohammed Ben Tahar. Le narrateur nous présente alors la scène des pleureuses, suivie de l’arrivée des psalmistes. Il décrit ensuite les rituels des cortèges d’enterrement. On lit également l’histoire de Sidi (j’en ai oublié le nom) avec le cadavre sur la civière sans cortège. L’enfant reçoit une nouvelle merveille, c’est une chaîne que sa mère lui avait donnée. Après l’avoir transformée, en la nettoyant, en or pur, le chat de Zineb la vole et prend la fuite! une bataille acharnée a lieu alors entre Sidi Mohammed et la fille de Rahma. [p-p: 78-98]

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Chapitre VI


Les préparatifs de la fête d’Achoura commencent. La salle du msid est nettoyée, les nattes remplacées, les murs badigeonnés. Pour ce travail, le maître forme des équipes, mais à cause du désordre fait par les enfants, la tache accomplie ce jour-là était seulement passer les murs au lait de chaux. Le lendemain, encore des équipes, Sidi Mohammed est nommé alors chef des frotteurs ! Pour les élèves, c’est une occasion pour éviter les leçons et les récitations. Le narrateur revient chez lui tout fier de sa journée. Le matin suivant, la mère empêche l’enfant d’aller au msid, il doit l’accompagner à la kissaria pour acheter de nouveaux habits, il est donc si heureux qu’il pardonne à tout ce qui était source de malheur pour lui! Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de Lalla Aïcha et entame avec elle une longue conversation sur l’affaire Moulay Larbi. Le narrateur nous rapporte ensuite la scène de marchandage pour l’achat du gilet. Lalla Zoubida a failli oublier la satinette que lui avait demandée Kanza en partant de chez elle, son fils lui rappelle cette commande. Quand les deux personnages sont revenus à dar chouafa, Rahma les invite un instant, le narrateur nous décrit la chambre de cette voisine. Après une nouvelle dispute avec Zineb, l’enfant plonge dans ses rêveries, sa mère l’en repêche pour manger. Un chant commence sur la terrasse, c’est Lalla Khadija, une jeune fille qui a épousé un vieillard qui s’appelle oncle Othman. Sa chanson donnera naissance à un long dialogue entre les femmes de la maison, dont l’élément principal est le récit d’un événement qui fait rire raconté par Rahma à propos de l’oncle Othman et sa jeune épouse. [p-p: 99-120]

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Chapitre VII


Deux jours avant Achoura, les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagné de chant berce le quartier. L’enfant, quant à lui, a droit à une longue trompette. Hammoussa, l’élève le plus petit de taille de l’école, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. Les élèves décorent le msid avec des lustres, besogne qui ne s’est terminée qu’avant le coucher du soleil. A la maison, la mère est ennuyée car elle n’a plus de pétrole pour la lampe. Driss El Aouad va en chercher dès que Rahma l’a mis au courant. Le lendemain, l’enfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed n’aime pas. Les enfants jouent de leurs instruments et les femmes les admirent et les encouragent. On assiste ensuite à une scène rapide de douche non son violence dont le héros n’est autre que Sidi Mohammed. A trois heures du matin, Lalla Zoubida réveille son fils, difficilement, il quitte son lit pour aller fêter Achoura avec les camarades au msid. Une certaine atmosphère de joie et de beauté enveloppe le msid et tout le quartier. Lalla Aïcha vient rendre visite à la mère, et le soir, après son départ, le narrateur ouvre sa Boîte à Merveilles, mais il est trop fatigué pour se livrer à ses jeux. [p-p: 121-150]

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Chapitre VIII


C’est le retour de la monotonie après les journées agitées d’Achoura. Avec les premiers jours de chaleur, certains changements de disposition des meubles ont lieu à la maison, et, les journées devenant plus longues, le msid est installé dans un sanctuaire deux pas plus loin, quêtant de la fraîcheur. La mémoire de Sidi Mohammed devient plus forte, il apprend ses lignes sans difficultés. Il se trace un programme: jusqu’au déjeuner il apprend avec ferveur ses versets, et l’après-midi, en faisant semblant d’apprendre, il donne libre cours à ses rêves où il se voit tantôt petit prince, tantôt l’homme qu’il souhaite devenir plus tard. Un lundi, le père vient déjeuner à la maison, il annonce à la mère qu’il veut lui acheter les bracelets soleil et lune qu’elle désirait. Toute la petite famille ira donc au souk. Après la prière de l’Aasser, le père vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Au souk, le père se dispute avec un dellal. La mère, l’enfant et la voisine reviennent à la maison pour attendre et pour pleurer. Le soir, le père arrive avec les bracelets, mais la mère refuse de les prendre au début, avant de les tenir enfin sans les regarder face à l'insistance du père. La nuit du narrateur est pleine de cauchemars, le lendemain matin, sa mère pense qu’il est malade, il doit donc rester au lit. Lalla Aïcha vient rendre visite à Lalla Zoubida après le départ du père. Elle annonce à son amie que Moulay Larbi, son mari, a épousé la fille du coiffeur Abderrahman. L’enfant devient vraiment malade, sa mère est folle de peur. [p-p: 151-172]

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Chapitre IX


L’enfant, souffrant de fièvre, ne se réveille que le lendemain soir, et malgré sa faim il ne peut rien manger. Les voisines proposent chacune un remède. Si Abdeslam arrive plus tôt que d’habitude, la mère prépare la table pour le diner, mais personne ne mange. Quand elle revient avec le plateau pour le thé, elle trouve que le père se prépare déjà pour aller dormir. Il lui annonce qu’il avait perdu tout son capital dans la cohue des enchères aux haïks, il décide alors de voyager pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. Il compte vendre les bracelets (que la mère n’a pas aimés, croyant qu’ils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison) pour laisser de l’argent à sa famille pendant son absence qui durera un mois. Le surlendemain à l’aube, le père quitte sa maison. Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla Aïcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scène du marchand coléreux, et le dialogue à propos du bureau des chrétiens. Il décrit également la maison de Lalla Aïcha qui parait maintenant un lieu bien misérable. Les deux femmes s’apprêtent pour aller visiter le voyant aveugle Sidi El Arafi. [p-p: 173-198]

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Chapitre X


Les deux femmes et l’enfant arrivent chez Sidi El Arafi grâce aux renseignements des gens de son quartier. Après être passés par des pavés mal ajustés, un couloir sombre, des escaliers… ils finissent par trouver la chambre du voyant. On lit donc une description de Sidi El Arafi, de sa femme et de sa chambre. Le panier du voyant rappelle à l’enfant sa Boîte à Merveilles. De ce panier, exécutant l’ordre du voyant, Sidi Mohammed sort un objet sans le regarder: c’est une boule de verre, de la grosseur d’un œuf. Lalla Aïcha, quant à elle, sort un petit coquillage qu’elle remet à Sidi El Arafi, son discours la fait pleurer. Tout le monde récite la fatiha. Arrive ensuite le tour de la mère: elle sort une perle noire à dessins multicolores. L’homme aveugle conseille à Lalla Zoubida de visiter les sanctuaires des Saints de Dieu qui veillent sur la ville. Enfin, les trois visiteurs quittent la chambre de Sidi El Arafi, accompagnés des vœux de cet homme saint. Aussitôt dans la rue, l’enfant repense aux propos du voyant, tout-à-coup il court se cacher dans les plis du haïk de sa mère, il a vu passer le fqih du msid. Dès le lendemain, le héros n’irait plus au msid durant l’absence du père, il est malade, et sa mère souffre de la solitude. Lalla Zoubida décide d’emmener l’enfant chaque semaine prier sous la coupole d’un Saint. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de l’argent et quelques nouvelles, c’est le messager de Si Abdeslam. Lalla Aïcha vient chez la mère pour une visite rapide, elle l’invite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui réserve une surprise ! [p-p: 199-221]

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Chapitre XI


Quand l’enfant et sa mère sont arrivés chez Lalla Aïcha, cette dernière était occupée de chasser les mouches de sa chambre. Après un bon moment, un dialogue commence enfin entre les femmes, il sera interrompu par une voix d’homme, mais ce n’est que Salama, la marieuse, c’est la surprise dont l’hôtesse a parlé la veille en invitant son amie Zoubida, elle a beacoup de nouvelles à raconter. Le narrateur rapporte le récit de Salama, comment Moulay Larbi l’avait chargée de lui trouver une seconde épouse. Ensuite, la scène de la femme étrangère qui a grondé Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Le récit de Salama reprend, elle parle des difficultés de Moulay Larbi et de ses problèmes avec sa jeune épouse et sa mère. Une autre femme arrive pour demander de la menthe, c’est Zhor, elle rejoint le groupe des femmes et se met à leur dévoiler quelques détails sur l’histoire du malheureux Moulay Larbi. Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, l’enfant oublie le verre qu’il tenait à la main, le thé se répand sur ses genoux. [p-p: 222-239]

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Chapitre XII


C’est un matin joyeux, les femmes de la maison, à tour de rôle, chantaient un couplet ou une cantilène. Un enfant frappe à la porte, c’est Allal El Yacoubi, un élève de l’école coranique, le fqih l’a envoyé prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derrière le lit, pris de panique. Aussitôt, Zineb, essouflée, appelle Zoubida, elle apporte une bonne nouvelle: elle a vu le père du narrateur! Si Abdeslam ne tarde pas à prononcer la phrase coutumière: «N’y a-t-il personne, puis-je passer?». Dans leur chambre, l’enfant et sa mère attendent l’arrivée du père. Installé sur les genoux de son père, Sidi Mohammed raconte les événements qu’ils ont vécus pendant son absence, à sa manière. La mère ne cesse d’intervenir pour rectifier. Les femmes, pour manifester leur joie, poussent des you-you et formulent des vœux. Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le père, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé la veille. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt à sa Boîte à Merveilles où toutes ses figures de rêve l’attendent. [p-p: 240-249]

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